poesie

prend mon aimée ce présent

et que tes rêves soient doux et sucré

tel un délicat baiser sur tes lèvres déposer

aie grand soin de ce cadeaux porte bonheur

car ce n'est autre que mon coeur

dans la nébulosité de mon esprit tourmenter la dernière flamme encore a briller

vient d'être souffler par le vent de ton indifférence.

la froide lame de ma désillusion ma percer le coeur tel un harpon.

oh que de regrets de n'avoire ce jour damné tout fait basculer d'un autre coté.

a quoi me sert de vouloir revivre le passé quand le présent même ma rejeter.

dans ma quête éperdue de la recherche de cette amitié entre moi et cette femme,

j'y ai perdu jusqu'à mon âme.

mais si un jour cette amitié retrouvée pouvoire recommencer tous mes rêves inachevé,

car le seul privilège qui me sera accorder est de rêver.

mais il me faudra la préserver a jamais c'est le prix a payer je le sais,

pour que tous mes fantasmes ainsi retrouver apaise mon âme pour l'éternité

elles vivent cachées dans un lieu féerique et magique.

elles passent leur journée a folâtrée dans les herbes folles,

se prélassant au soleil ,se roulant dans la poussière,

se baignant dans les rivières

leur croupes majestueuse se frôlant tendrement,se mordillant dans le cou

leur corne étincelant aux rayons du soleil.

parfois elles galopent a en perdre haleine,une fine écume maculant leur naseaux.

ainsi va leur vie de galops en flâneries.

mais la nuit venue elles se transforme en déesses reines de beautee,

volupté de leur corps nu majestueux,leur sensibilité a fleur de peau,

pureté de leur courbes ,galbe parfait de leur formes,alanguie dans l'attente d'une éventuelle étreinte.

elles se retrouvent autour d'un feu pour une danse ensorcelante et magique,

délice de leurs corps en mouvement harmonieux,

dansant toute la nuit en un ballet enivrant,

jusqu'au matin ou elles repartirons dans un galop endiable.

heureux celui qui assiste a ce spectacle le bal des licornes.

je me souviens de toi je me souviens de moi de nos peines de nos joies

de deux bambins ce tenant la main sur le même chemin

je me souviens de toi je me souviens de moi,

de mon coeur plein d'émoi quand pour tout deux c'était notre première fois

je me souviens de toi si belle entre les draps,si douce entre mes bras

je me souviens de toi je me souviens de moi

je me souviens de nous et de notre amour fou

avec une rare intensité et la durée d'un été tu es passer dans ma vie tel un fantôme dans la nuit.

tu avais commencer a peindre mon coeur des belles couleurs des aurores boréale.

et mon âme ce réchauffée

et tu t'es enfuie depuis c'est l'hiver

je reste a genoux les poings lever a crier a la lune ma douleur reprit a l'unissons par les grands loups solitaire

je me retourne et contemple le naufrage qu'est ma vie

alors sans état d'âme je me drape dans ce froid polaire et ma haine puis ma peine se fige a mesure que mon sang gelé

de petites stalactites aux mille couleurs irisée se forme sur mes joues vestige des dernière larmes versée

et dans le reflet nacrée de mes yeux vert je danse avec une ombre ses long cheveux de soie caressant mon visage

je danse avec une ombre juste ton ombre